75. Ramener les brebis perdus

18/06/2014
Un membre de notre famille âgé et intellectuel qui avait de fausses croyances sur le christianisme apparu dans mon rêve dans une salle. Il y avait des prêtres méchants qui entraient et le jugeaient, il voulait parler de son savoir mais ne trouvait pas une sainte oreille et vint trouver refuge auprès de moi comme un enfant, qui l’avait écouté la veille en vrai avec douceur et sans jugement. Je l’emmenai au fond de la pièce, lui fit un signe de croix sur le front, pria pour lui et il vit derrière moi Jésus sur la croix avec une lumière qui en sortait. Là il cru. -Fin du rêve-

>En effet cette personne ne croyait pas à la notion du péché et que Jésus était mort pour nous sauver de nos péché, ni à son pardon ni aux sacrements.
Le lendemain je lui racontais le rêve et il me dit qu’il avait enfin trouvé la réponse après toutes ses années de recherches de Dieu dans la religion. Merci Jésus.
Dieu vient toujours chercher les âmes qui le cherche à travers de nombreux moyens.
Il faut savoir écouter sans juger les autres et simplement leur transmettre la parole du Seigneur avec amour et prier pour eux. Même s’ils manifestent toujours leurs désaccord après la conversation, ce n’est pas grave, il faut prier pour eux et l’Esprit Saint fera le resta car notre but n’est pas de convaincre mais de transmettre la Bonne Nouvelle celle de l’Evangile où Jésus est mort et ressuscité pour nous sauver de nos péchés et nous ouvrir les portes du Royaume de Dieu.

Matthieu 10:5 Tels sont les douze que Jésus envoya, après leur avoir donné les instructions suivantes:
N’allez pas vers les païens, et n’entrez pas dans les villes des Samaritains;
allez plutôt vers
les brebis perdues de la maison d’Israël.
Allez, prêchez, et dites: Le royaume des cieux est proche.
Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, chassez les démons.
Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement.
Ne prenez ni or, ni argent, ni monnaie, dans vos ceintures ni sac pour le voyage, ni deux tuniques, ni souliers, ni bâton; car l’ouvrier mérite sa nourriture.
Dans quelque ville ou village que vous entriez, informez-vous s’il s’y trouve quelque homme digne de vous recevoir; et demeurez chez lui jusqu’à ce que vous partiez.
En entrant dans la maison, saluez-la;
et, si la maison en est digne, que votre paix vienne sur elle; mais si elle n’en est pas digne, que votre paix retourne à vous.
Lorsqu’on ne vous recevra pas et qu’on n’écoutera pas vos paroles, sortez de cette maison ou de cette ville et secouez la poussière de vos pieds.
Je vous le dis en vérité: au jour du jugement, le pays de Sodome et de Gomorrhe sera traité moins rigoureusement que cette ville-là.

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