71. Craindre Dieu

13/04/2014
Dans ce rêve j’étais dans une crypte éclairée d’une lumière jaune avec des murs et une voute en pierre, il y avait une première personne qui se présentait devant la présence de Jésus, c’était un homme riche qui pensait être parfait dans ses actes, puis une deuxième personne de classe moyenne qui pensait aussi être sans péchés puis je me présentais à mon tour en dernier, j’avançais vers Jésus timidement en longeant le mur et en disant humblement « il faut avoir peur de Jésus » (craindre Dieu) puis soudain devant un lustre à bougie j’entendis la voix de Jésus me répondre à moi et pas aux autres en me disant:
« Accroche toi à la lumière » puis je passait devant les deux autres et m’accrocha fermement au lustre à bougie allumé. -Fin du rêve-

>Dieu me fait comprendre ici qu’il préfère ceux qui reconnaissent humblement leurs péchés et qui craigne Dieu plutôt que ceux qui se croient parfait en estimant qu’il n’ont rien à se reprocher devant Dieu et donc qui ne le respecte pas assez. Devant mon humilité face au Seigneur il m’éleva devant les autres en s’adressant à moi et en m’encourageant à rester sur le chemin de la sainteté en m’accrochant à lui et son enseignement pour me permettre de le rejoindre au Paradis.

Luc 18:9 À l’adresse de certains qui étaient convaincus d’être justes et qui méprisaient les autres, Jésus dit la parabole que voici : « Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L’un était pharisien, et l’autre, publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts).
Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même : “Mon Dieu, je te rends grâce parce que
je ne suis pas comme les autres hommes – ils sont voleurs, injustes, adultères –, ou encore comme ce publicain. Je jeûne deux fois par semaine et je verse le dixième de tout ce que je gagne.” Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : “Mon Dieu, montre-toi favorable au pécheur que je suis !” Je vous le déclare : quand ce dernier (le publicain) redescendit dans sa maison, c’est lui qui était devenu un homme juste, plutôt que l’autre. Qui s’élève sera abaissé ; qui s’abaisse sera élevé. »

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